Sagot :
Par prudence je me réfugiais tout de suite au premier étage. L’eau envahissait la cour, doucement, avec un petit bruit. Nous n’étions pas très effrayés. Mais bientôt, l’eau atteignait un mètre. Je la voyais monter avec une rapidité effrayante. Dans nos étables les bêtes ruaient. J’entendais tout à coup des....Puis dans un craquement terrible, les animaux furieux sont venus enfoncer les portes de l’étable. Ils passèrent dans le flot jaune, emportés par le courant. Les moutons tournoyaient au milieu des remous comme des feuilles mortes. Les vaches et les chevaux luttaient, marchaient puis perdaient pieds. L’eau s’élevait toujours. Nous décidions de monter sur le toit et appuyés contre la lucarne j’interrogeais l’horizon.
Voilà par contre je sais pas justifier le choix
Voilà par contre je sais pas justifier le choix