Bonjour j’ai un sujet à faire mais après une dizaines d’essais cela ne lui suffit pas et pas assez approfondie j’espère avoir de l’aide ^^’ merci d’avance


Sujet : vous êtes un poilu (un soldat) et vous écrivez une lettre à vos parents dans laquelle vous racontez vos conditions de vie dans les tranchés (qui sont horribles) puis la violence des combats ..

Sagot :

Mes chers parents

Je ne vit plus, mes nuits sont horribles, je dort avec des rats, des cadavres.J’ai vue des hommes mourir sous l’éclats des obus, dues tuer des innocents, mais chaque jours peut être le dernier, alors je continue à tuer ses innocents, á voirs mes camarades mourrir devant mes yeux, de laisser passer les brancards des hommes déchirés par les balles. J’y suis aussi passé sur se brancard, j’aurais préféré y passer pour ne plus voir ses horreurs, ne plus voirs ses bains de sang, certains sont morts dès les premières seconde.
J’espère que notre village n’as pas été attaqué et que vous vous portez bien.

Votre fils.

Bonjour

Ma chère amie,

 

A peine la guerre est commencée, que nous, soldats commençons à en avoir assez de se battre, assez des conditions de vies pénibles, assez de la peur de mourir à tout instant, assez de ne pas savoir si nous reverrons un jour nos proches ou non et encore beaucoup d'autres raisons qui créent une immense lassitude.

J'aimerais demander une trêve par certains moments, je ne demande qu'un peu de repos, je vis dans la misère, le désespoir de la paix et je trouve cette guerre monstrueusement stupide et violente. Ils sont partout, nous sommes cernés, notre enlisement survient rapidement et nous ne savons plus comment nous en défaire.

Je ne suis pas préparé à cette guerre, je pense que je vais y rester, je veux vous dire que je vous aime avant de vous quitter. Je ne veux plus chasser l'homme, je ne veux plus me cacher, le bruit de ces mitrailleuses et de ces fusils me rendent sourds, je rêve de silence, je rêve d'un peu de chance. J'ai une envie de révolte, je pense que nous subissons de la manipulation, nous servons de chair à canon pour ces ennemis soldats.

Je crois que je préfère périr plutôt que de terminer gravement blessé, je serais alors une charge pour vous, et je ne m'accepterais jamais. Je perds l'espoir d'une autre vie, je perds l'espoir de vous serrer dans mes bras.

Leur armement est bien meilleur que le nôtre, il est meurtrier et je vis ou plutôt je survis dans une violence inenvisageable tout en connaissant de grandes souffrances physiques et morales ; Certains de mes collègues se suicident par désespoir.