Sagot :

Réponse :

Ô combien le péril enrichirait les Dieux,

Si nous nous souvenions des voeux qu'il nous fait faire !

Mais le péril passé, l'on ne se souvient guère

           De ce qu'on a promis aux Cieux ;

Il s'agit ici d'une satire de la parole donnée et non tenue. Un voeu fait aux dieux et une fois le péril passé, on oublie mais Jupiter s'est vengé.