réécrivez le passage à la premiere personne du pluriel et mettez le premier verbe au présent de l’indicatif. j’étais encore sous l’impression de la magie qui venait de se produire .le miracle qui m’avait démontré la toute puissance de la parole poétique .je devinais qu il ne s’agissait même pas d’artifices verbaux ni d’un savant assemblage de mots

Sagot :

Réponse :

Nous sommes encore sous l'impression de la magie qui venait de se produire, le miracle qui nous avait démontré la toute puissance de la parole poétique, nous devinions qu'il ne s'agissait même pas d'artifices verbaux ni d'un savant assemblage de mots.

Explications :