Sagot :
Réponse :
Au nom de l'enfance volée
Des enquêtes nombreuses, des reportages ont montré des ateliers qui exploitaient la main d'oeuvre des enfants et des jeunes adolescents dans certains pays d'Asie et d'ailleurs. On les voit des journées entières penchés sur des machines ou portant des charges trop lourdes pour leur jeune corps. De grandes enseignes, des marques réputées tournées vers le sport ou le textile ou la chaussure font fabriquer à moindre coût des articles revendus très chers au mépris des droits des enfants, charte adoptée sur le plan international. Cette jeunesse volée n'a pas accès à l'école, n'a pas accès à l'émancipation sociale. Nous nous émouvons quelques minutes devant des images d'enfants exploités mais l'émotion passe vite, ils sont si loin,. Ne les entendez-vous pas en regardant vos propres enfants ?
Il est temps de faire pression sur ces grandes enseignes tellement sensibles à leur publicité et à leur image de marque. Il serait grand temps d'être vertueux aussi dans les affaires.