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Sagot :

Réponse :

1. Dans son autobiographie, on peut légitimement raconter des épisodes marquants de sa vie mais on peut aussi parler de son caractère, de ses émotions, de ses points de vue, de ses idées. C'est cela "la vie intérieure", celle des pensées.

2. Si le travail d'introspection paraît pénible" à George Sand, c'est parce qu'elle trouve qu'il est difficile "de parler de soi, de se résumer, de se définir".

Explications :

Bonsoir !

Réponse :

Comment justifier le projet autobiographique ?

1. Georges Sand emploi l'expression "vie intérieure"  car c'est la part de nous-même que les autres ne voient pas, c'est à dire la "vie de l'âme" : les sentiments, les pensées, les émotions...

2. Ecrire sur soi est "pénible" pour Georges Sand dans le sens où il n'est pas si facile de parler de soi-même tout en disant la vérité et faire ressortir des moments très douloureux. Mais c'est aussi un "devoir" pour l'auteure car cela permet de mieux se connaître, de mieux se comprendre.

Le champ lexical de la difficulté : "malaisé", "assez pénible", "étude fastidieuse".

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