Hello,
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Tout d'abord, on y retrouve des champs lexicaux tournants autour de la mort et de la détresse.
Il y a aussi quand Zola insiste sur la gravité de sa situation (elle dégringolait plus bas encore, mourrait un peu de faim tous les jours, [...] jusqu'au bout de la sacrée existence [...], etc)
Et l'emploi de certains verbes au lieu de leurs équivalents plus neutres (dura pour viva, dégringolait pour tombait, battait les murs pour se tenir aux murs, etc)
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Je ne vous pas trop quoi dire de plus, prend ce qui t'intéresse dans mes idées et il y a encore surement à développer :)
Bonne après-midi !