Sagot :
Bonjour,
Les misérables nous plongent dans un monde de misère du XIX° siècle, nous avons du mal à imaginer ce que cela pouvait être , la violence, la famine, le travail épuisant , le rejet de la société, le bagne .
J'ai découvert aussi que l'amour et la tendresse étaient bien présents, mais aussi la compassion et le pardon.
J'ai aimé les personnages de Cosette, et de Gavroche, deux enfants qui résistent malgré tout , même si Gavroche meurt par héroïsme , mais quel héros!
Jean Valjean a fait du mal , un évêque le met sur le chemin du bien , c'est le côté militant catholique de Victor Hugo qui fait surface, le pardon vient d'abord de soi-même .
Quant à Javert, il fait son travail de policier , on ne peut pas lui en vouloir, mais ce jeu du chat et de la souris est haletant .
Par contre, j'ai trouvé des longueurs , en particulier pendant la période de la guerre , ce sont les individus qui m'intéressent d'abord.
J'ai trouvé ce roman passionnant, mais n'est pas Victor Hugo qui veut.