Sagot :
Réponse :
1. La langue du XVI° a une syntaxe,un lexique qui ne sont plus tout à fait les nôtres.
2. Le rondeau est un poème de 13 vers composé avec deux rimes et qui se clôt comme il commence. C'est le cas du poème "A un créancier" de Marot mais aussi du second.
3. L'interlocuteur du premier poème est un créancier, dans le second poème il s'agit aux lecteurs pour leur proposer une réflexion sur l'évolution de l'amour.
4. le champ lexical dominant du premier poème est l'argent : créancier/bien/payer/pécune/bourse/cliquaille.
Dans le second poème le champ lexical dominant est celui de l'amour : amour/entretenait/vingt ans/trente ans/durai.
5. Les jeux de mots : "de pécune ma bourse est tendre", "baille, baille".
Anglais, c'est aussi un créancier.
6. Le rondeau donne de la légèreté au propos. Les vers de 10 syllabes (décasyllabes) sont moins solennels que l'alexandrin. La reprise du début à la fin, donne une forme close, un petit objet poétique fini.
Il traite de deux thèmes qui sont éternels et sur lesquels on peut se trouver d'accord. Tout le monde est concerné par l'argent et l'amour. En cela, Marot est frère humain.
Explications :