Sagot :
Lisa,
Je suis profondément toucher d'apprendre qu'hier, tu as quitté notre monde.
Je n'ai plus de mots, j'ai l'impression d'avoir reçu un poignard dans mon
coeur.
Deux ans, deux ans qu'on t'a torturé.. Ils se sont moqués de ton corps car ils te trouvaient trop "maigre". Tu les as écouté et tu ne m'as rien dis.
Pourquoi ?
Ils ne méritent pas ta mort. C'est dans ces moments qu'il faut se relever avec force mais toi tu ne l'as point fais. Tu m'as abandonné...
Sache que je ne t'oublierai jamais pour la personne fabuleuse et sincère que tu es.
Je t'aime,
Reste en paix.
Elodie, ta soeur de coeur.