Sagot :

acolom

Réponse :

Bonjour,

Les soirs de mai, à l’heure où la terre et le ciel s’anéantissaient avec lenteur dans une paix suprême, je quittais la ville et gagnais les champs : les coteaux arides, couverts ça et là de ronces et de genévriers ; ou bien les bords de la petite rivière, ce torrent de décembre, si discret aux beaux jours ; ou encore un coin perdu de la plaine tiède des embrasements de midi, vastes terrains jaunes et rouges, plantés d’amandiers aux branches maigres, de vieux oliviers grisonnants et de vignes laissant traîner sur le sol leurs ceps entrelacés.

;)

Suprême

Arides

Petite

Discret

Beaux

Perdu

Tiède

Vastes

Jaunes

Rouges

Maigres

Vieux

Grissonants

Entrelacés