Sagot :
Bonjour,
1) Le domaine de concentration est établi de manière à rester dans la partie linéaire de la courbe A = f(C).
2) voir cours/livre dilution...
3) A → absorbance A (en ordonnée)
X → concentration C en μmol.L⁻¹ (en abscisse)
0,1592 → coefficient directeur de la droite (pente)
0,0016 → ordonnée à l'origine, donc absorption pour C = 0
R² = 0,9996 coefficient de détermination (ou de corrélation) (proche de 1 donc excellent)
La loi de Beer-Lambert est bien vérifiée puisque la courbe d'étalonnage est assimilable à une droite avec une très bonne corrélation.
4) Même température (et pression mais c'est presque toujours le cas) et concentration C0 faible (< 10⁻² mol.L⁻¹)
Si la température n'est pas identique à celle mesurée lors de l'étalonnage, il faut chauffer ou refroidir S0.
Si C0 est trop grande pour respecter le domaine dans lequel Beer-Lambert est utilisable, il faut préparer des dilutions de C0 et calculer S0 à partir du facteur de dilution choisi.
5) A(alodont) = 0,126 donne C(alodont) = (0,126 - 0,0016)/0,1592 ≈ 0,78 μmol.L⁻¹
6) On constate que l'absorption est maximale pour λ = 640 nm, ce qui justifie le choix de cette longueur d'onde.
Cette bande ne pourra pas être utilisée pour des dilutions trop importantes de l'alodont (pas sur de cette réponse car question pas super claire...)
Autre méthode : Spectroscopie de fluorescence
7) Le solvant doit être très peu absorbant pour la longueur d'onde choisie.
Sans certitude, je répondrais : de l'eau