Bonjour,
J’espère que ceci pourra vous aider.
Je n’étais encore qu’une petite lorsque cette histoire est arrivée. Tout allait encore super bien, j’étais en bonne santé et je m’étais fait beaucoup d’amis à l’école. Jusqu’au jour ou j’appris que ma grand-mère était souffrante et allait sûrement en mourir. J’en étais désespérée puisque c’était l’une des personnes les plus chère pour moi. Je ne mangeais plus, je ne dormais plus, je ne voulais plus aller à l’école ni même pour voir mes copines. Je ne voulais voir qu’elle profiter de mes derniers instants en sa compagnie.
Mais un jour la plus belle chose, une chose à laquelle je n’aurais jamais pensé mais tomber dessus et m’a donné à nouveau espoir. J’ai d’abord cru qu’il me voulait du mal et finalement non il voulait m’aider. Et oui c’était le Diable, il ce tenait là à côté de moi. Il me fit alors une proposition bien compliqué. Je devais choisir entre sauver ma grand-mère et sauver 10 personnes innocentes qui ont encore toute leur vie dedans eux. A partir de ce moment, je me sentis très mal car d’un côté je pourrais trouver la chance de pouvoir continuer à vivre avec ma grand-mère adorée mais d’un autre côté je me voyais mal être coupable d’un meurtre de 10 personnes innocentes. Que faire ? c’était la question que je me posais sans arrêt. J’aurais tellement aimé en parler à mes parents ou encore à mes amis pour qu’elles puissent m’aider mais le diable m’avait donner une règle à respecter qui était de n’en parler à personne. Il avait bien insisté sur le faite que si je trahissais cette règle il ne sauverait pas ma grand-mère et tuerait les 10 personnes innocentes.
Il me restait encore trois jours pour réfléchir et je ne cessé de penser aux bons moments passé avec elle.
Lorsque ce fut le jour de prendre ma décision. Le diable revint me voir. Je tremblais de peur. Je lui dis alors que j’avais choisi de sauver ma grand-mère mais, je lui ai d’abord demandé une faveur. C’était de soit tué des personnes très âgés qui allait de toute façon mourrir ou alors de ne tué seulement 4 criminels. Il ne fut alors pas d’accord. Je m’attendais à cette réaction mais j’avais quand même espéré. Il y eu ensuite deux minutes qui passa et il me dit qu’il acceptait mais si je lui donnais trente mille euros dans la semaine. J’acceptais alors le pacte sans savoir ou j’allais trouvé cette argent.
La semaine suivante j’eu enfin trouvé la somme demandée. J’ai donc pu passer vingt ans avec ma grand-mère qui fut décédée la semaine dernière. Mais j’ai tellement repensé au formidable moment que j’ai encore pu passer avec elle que je ne regrette rien.
