Réponse :
Il existe de nombreuses barrières qui protègent généralement les organismes contre les infections, notamment les barrières mécaniques, chimiques et biologiques. Les feuilles de nombreuses plantes sont protégées par des coquilles cireuses, des structures d'insectes, des coquilles et des membranes externes des œufs, et la peau des humains et des animaux. Ces barrières sont la première ligne de défense qui protège un organisme contre les infections microbiennes. Cependant, les êtres vivants ne peuvent pas se fermer complètement de l'environnement extérieur, car il existe des mécanismes de protection pour les organes ouverts sur l'environnement extérieur, tels que les poumons, l'intestin et le système urogénital. Dans les poumons, la toux et les éternuements sont l'un des mécanismes de protection qui expulsent les infirmières et les stimuli des voies respiratoires. Les larmes et la production d'urine font également partie des mécanismes de protection mécanique que le corps utilise pour nettoyer ses cours d'eau. Le mucus sécrété par le système respiratoire et le système urogénital agissent comme un piège microbien et le font sortir.
Il existe des barrières chimiques qui protègent contre l'infection par des microbes, tels que la peau et les voies respiratoires, qui sécrètent des antibactériens peptidiques qui sont sécrétés par la peau, tels que les défensines مضاد- et des enzymes telles que le lysozyme et la phospholipase A2 dans la salive et les larmes; Et le lait maternel, qui contient également des substances antibactériennes. Les pertes vaginales accompagnant le début de la menstruation sont des barrières chimiques lorsqu'elles deviennent légèrement acides; Alors que le sperme contient du zinc, qui tue les agents pathogènes. Dans l'estomac et le tube digestif, des protéines et des enzymes sont sécrétées qui agissent comme une bactérie résistante aux produits chimiques et tuent de nombreux petits organismes étrangers au corps.
Explications :
