Réponse :
Je n'ai point encore ces élans tumultueux de tout son être, ces ravissements fous, ces soulèvements profonds que je crois être la passion ; il me semble cependant que je commence à l’aimer ; car je me sens parfois toute défaillante en pensant à lui ; et j'y pense sans cesse. Ma présence me remue le cœur ; je rougis et pâlis en rencontrant un regard, et frissonne en entendant sa voix.
Explications :