Sujet :
Il t'est arrivé un jour d'apporter de l'aide à une personne en difficulté (un enfant de la
rue, un vieux ou une vieille, une personne handicapée, etc.).
Raconte en quelques lignes (de 8 à 12 lignes) ce que tu as fait pour lui venir en aide
en décrivant tes sentiments.
Lors de ta rédaction, tu respecteras les consignes suivantes :
- tu précises les circonstances de l'événement : temps, lieu, occasion).
- tu décris rapidement l'aspect physique et moral de la personne aidée.
- tu racontes les actions que tu as faites pour l'aider.
- tu exprimes ce que tu as ressenti après l'avoir aidée.
La correction de ta production tiendra compte des critères d'évaluation suivants :
A Respect de la consigne (se conformer à ce qui est demandé dans le sujet.) 1
B Structure du récit : 2
C Description et expression des sentiments : 2
D
Correction de la langue (construction des phrases, orthographe, vocabulaire approprié,
conjugaison.) 3


Sagot :

ELO15

Bonjour,

Voici ma rédaction :

" C'était la veille du nouvel an, précisément en 2017. J'étais sorti de chez moi pour acheter du foie gras et du champagne. Je me dirigeai vers Auchan et j'aperçus une dame pleurant au coin d'une rue. Elle portait des guenilles et me regardait d'un air énervé. Je me sentis très mal c'est pourquoi je suis allé la voir pour lui demander ce qu'elle avait. Elle m'annonça qu'elle était désespérée car elle devait passer le réveillon seule. Alors, je n'hésitai pas une seconde de l'inviter pour manger le festin avec nous. Je la pris dans mes bras et la réconforta très fort. Je lui expliquai qu'elle pouvait compter sur moi . Je ressentis qu'elle était une personne très généreuse et bienveillante. Après le réveillon, j'étais la plus heureuse au monde également dans son côté, je pense.. Les apparences sont souvent trompeuses ! comme on le dit souvent "

Réponse :

C'était il y a 2ans. J'avais 11 ans. Comme chaque matin, je pris le métro pour me rendre à mon école.

Je comptait les arrêt dans ma tête et espérais que j'arriverais bientôt pour fuir la foule et l'odeur nauséabonde que procurait le métro.

Plus que 5 arrêt...

Une femme entra. Brune aux yeux marrons-gris, elle portait un tailleur bleu marine. Elle incarnait à elle seule le grandiose cliché de la secrétaire avec ses ongles parfaitement vernis en rouge. Elle me rappelait ma mère, elle aussi secrétaire : même posture, même classe.

Je la trouvait vraiment belle, et me dit que je ressemblerai à elle, quand je serai grande.

Plus que 4 arrêt...

Des gens descendent, d'autres montent. Je le remarquai tout de suite. Il faisait peur.

Je me replongeai dans mon observation de mon entourage. J'eus soudain la désagréable impression qu'on me fixai. Je relevai la tête, il me fixai effectivement. Je ne baissai pas le regard, nous nous affrontâmes en silence pendant de longues secondes. Il finit par détourner le regard et je fis de même.

Plus que 3 arrêt...

Mon instinct me dit de le surveiller. Je le trouvai louche. Je remarquai alors sa main... Elle se baladait : tantôt sur la porte, tantôt derrière le dos du sosie de maman.

Il effleura alors ses fesses et je tiqua. Elle aussi. Je me dit qu'il n'avait pas fait exprès mais il refit le même geste. Je me levais, prête à intervenir.

Plus que 2 arrêt...

La dame se retourna et essaya de le stopper. Il continua. Je lui fis discrètement signe et elle vint s'assoir. Malheureusement, l'homme vint également s'assoir près d'elle. Il lui caressa la jambe, je fis semblant de tousser pour lui dire que je voyais tout. Il ne me regarda même pas.

Plus qu'1 seul arrêt...

Il devint de plus en plus insistant. N'en pouvant plus, je criai :

_Tiens, tante Sophie ! Comment vas-tu ?

Je me rapprochai d'elle et vint lui faire un câlin en prenant garde de bien m'assoir sur ses genoux. L'inconnue joua le jeu et je lui dis :

_Tu peux faire un détour et m’accompagner à l'école ? S'il te plaît ?

_Mais bien sûr ma chérie !

Arrivé à Alésia Général Leclerc...

Nos sortîmes précipitamment et la femme m'accompagna.

Ainsi, du haut de mes 11ans, j'appris à défendre les femmes du métro.

Je me sentais utile ! Et c'est ce jour-là que je décida de devenir policière, pour mieux défendre, peut importe le lieu et qui.