Sagot :
Bonjour,
Voici ce que je te propose :
Sur la place de la gare, une foule éperdue (la foule) tourbillonnait. Beaucoup de gens étaient venus (les gens) dans l’espoir de prendre le train pour gagner quelque autre ville qu’ils pensaient épargnée (une ville) par le fléau. Mais sur les portes closes (les portes), une affiche tracée (une affiche) à la main annonçait que rien ne fonctionnait plus. Des hommes avaient traîné (rien à rajouter, COD après le verbe) leur famille entière […], la mère et tous les enfants encombrés (la mère + les enfants) de colis. Ils arrivaient à la gare, se heurtaient aux portes fermées (les portes), lisaient l’avis et reprenaient, effarés (ils), le chemin de leur domicile. Que faire, où aller, comment quitter la capitale où ils ne trouveraient bientôt plus de quoi manger ? Certains, découragés (certains), s’asseyaient sur leurs valises, et mêlaient leurs larmes à la sueur qui coulait sur leur visage.
Voilà ! Les explications sont entre parenthèses, à chaque fois je précise de qui on parle. Si tu as besoin de plus de précisions, dis-le moi.
Bonne journée et bon travail.