Réponse :
bonjour
Explications :
Quand la morte-saison d’été fut venue, un vent de panique souffla au Bonheur des Dames. C’était le coup de terreur des congés, les renvois en masse dont la direction balayait le magasin, vide de clientes pendant les chaleurs de juillet et d’août. Mouret, chaque matin, lorsqu’il faisait avec Bourdoncle son inspection, prenait à part les chefs de comptoir, qu’il avait poussés, l’hiver, pour que la vente ne souffrît pas, à engager plus de vendeurs qu’il ne leur en fallait, quitte à écrémer ensuite leur personnel. Il s’agissait maintenant de diminuer les frais, en rendant au pavé un bon tiers des commis, les faibles qui se laissaient manger par les forts.
– Voyons, disait-il, vous en avez là-dedans qui ne font pas votre affaire… On ne peut les garder pourtant à rester ainsi, les mains ballantes.
4 subordonnées circonstancielles:
- quand la morte saison fut venue : prop sub conjonctive,introduite par la conjonction "quand", cc de T
- lorsqu'il faisait son inspection avec Bourdoncle :introduite par la conjonction "lorsque", cc de T
- pour que la vente ne souffrit pas : introduite oar la conjonction "pour que",cc de but
- ???
3 subordonnées relatives :
- dont la direction balayait le magasin : prop sub relative , introduite par le pronom relatif "dont", a pour antécédent " les renvois en masse"
- qu' il vait poussés : prop sub relative, introduite par le pronom relatif "qu' ", a pour antécédent "les chefs de comptoirs"
- qui se laissaient manger par les forts : prop sub relative, introduite par le pronom relatif "qui", a pour antécédent " les faibles"
1 proposition indépendante :
- on ne peut les garder pourtant à rester ainsi les mains ballantes
1 proposition principale:
- un vent d e panique souffla au Bonheur des Dames
