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Bonsoir!!! je suis en terminale et j’ai besoin d’aide pour ce travail d’écriture svp : Liberté, Tolérance, Egalité, Justice : selon vous lesquelles de ces valeurs sont le moins respectées ? Vous donnerez trois ou quatre arguments en une vingtaine de lignes. Merci pour votre aide !

Sagot :

Réponse :

Explications :

Comme les 4 piliers d'un même  édifice, la liberté, la tolérance, l'égalité et la justice sont attaquées d'un même mouvement et sont en train de s'écrouler.

La liberté meurt sous les coups d'une demande de sécurité de plus en plus grande de la part des citoyens. cela a commencé par la vague des attentas où de nombreuses entraves à la liberté ont été mise en place pour protéger la population du risque terroriste. ca a continué avec le Confinement, où la liberté a té suspendue au profit de considérations sanitaires. ce qui prime, ce n'est plus la liberté, c'est la responsabilité.

la tolérance ne meurt plus à cause de la répression, mais par son excès, qui conduit à l'indifférence. je tolère mon voisin , non parce que je lui accorde les mêmes droits que moi, mais parce que son sort m'indiffère totalement.

L'égalité n'a jamais été aussi bafouée que maintenant. jamais dans toute l'histoire humaine, un pourcentage infime (0,1%) des hommes n'a concentré une telle part des richesses, au détriment de la moitié des humains. cette indécence ne provoque aucun remous , aucune révolution, et les gens en redemandent en votant pour Trump et Bolsonaro qui abaissent les impôts des ultrariches.

La justice est à la main de quelques avocats surpayés, qui font acquitter les corrompus aussi sûrement qu'on condamnait à mort les voleurs de pain dans l'ancien temps. l'institution judiciaire est trop lente, sous-payée, submergée de plaintes, incapable de faire face. dans certains pays comme les Etats unis, le Philippines, les policiers ont un droit de tuer, qu'ils exercent impunément contre la minorité noire ou ceux que le pouvoir considère comme des drogués. Dans des pays d'Amérique centrale, la police tue au hasard dans la rue des habitants des quartiers pauvres, pour remplir les quotas d'arrestation de toxicomanes et obéir à la politique du chiffre. Cette pratique port le nom de " faux positifs". comme l'on scandait en 1968, police partout, justice nulle part !

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