Sagot :
Coucou alors voilà pour la question 10. Je me suis inspiré d’un site internet 10.
Je suis partie pour un petit périple de trois jours dans le Vercors, plus précisément à Villard-de-Lans.
Quand nous sommes arrivés, comme l’appartement n’était pas encore disponible, nous sommes allés louer les skis et prendre nos forfaits…. Mais ça n’a pas été possible : la dame a refusé de nous vendre des forfaits pour le lendemain car la météo annonçait de grosses bourrasques de vent et de la pluie, et les pistes risquaient de ne pas être ouvertes… Pour un séjour au ski ça commençait bien ! Le lendemain, les pistes étaient en partie ouvertes… et c’est là où toutes les catastrophes commencent !!
Première catastrophe : pour bien commencer la journée j’ai vomi dans la voiture. Bah les virages de montagne : très peu pour moi ! Ensuite, nous sommes montés en haut des pistes pour mon cours de préparation première étoile (oui oui, le ski c’est pas mon truc, je n’y vais jamais ! … Et maintenant je sais pourquoi ). Donc, comme je n’avais pas skié depuis 3 ou 4 ans, les moniteurs m’ont envoyée chez les flocons. Mais quand je suis montée sur le tire-fesses, j’ai lâché la barre trop tôt . Après avoir bien galéré pour remonter à peu près, j’ai commencé la descente, j’ai pris de la vitesse et, arrivée en bas… je ne me rappelais plus comment freiner alors j’ai foncé droit sur le prof et je me suis fait mal au poignet. On pourrait croire que ça s’arrête là… mais non ! Du coup le prof m’a envoyé chez les Piou-Pious. Quand un petit de 5 ans m’a dit « tu vois le chasse neige c’est comme ça qu’il faut faire » et qu’il m’a montré j’ai eu des envies de meurtre ! A la fin du cours, j’ai eu la bonne idée de redescendre à la station en skis, et là… nouvelle catastrophe !
J’ai raté un virage, je suis tombée et j’ai dévalé à peu près 150 mètres sur les fesses en semant des affaires par ci par là (et hop un snikers, et hop un gant et hop… !) ça n’en finissait pas !
Évidemment, on a aussi pris un mauvais chemin, et on a dû marcher un bon kilomètre en suivant une route avec nos chaussures de ski aux pieds et nos skis sous le bras avant d’arriver à la station (oui, c’était vraiment une « journée de rêve » ☹). Après je sais que c un peu long tu peux arranger comme bon te semble :).
Je suis partie pour un petit périple de trois jours dans le Vercors, plus précisément à Villard-de-Lans.
Quand nous sommes arrivés, comme l’appartement n’était pas encore disponible, nous sommes allés louer les skis et prendre nos forfaits…. Mais ça n’a pas été possible : la dame a refusé de nous vendre des forfaits pour le lendemain car la météo annonçait de grosses bourrasques de vent et de la pluie, et les pistes risquaient de ne pas être ouvertes… Pour un séjour au ski ça commençait bien ! Le lendemain, les pistes étaient en partie ouvertes… et c’est là où toutes les catastrophes commencent !!
Première catastrophe : pour bien commencer la journée j’ai vomi dans la voiture. Bah les virages de montagne : très peu pour moi ! Ensuite, nous sommes montés en haut des pistes pour mon cours de préparation première étoile (oui oui, le ski c’est pas mon truc, je n’y vais jamais ! … Et maintenant je sais pourquoi ). Donc, comme je n’avais pas skié depuis 3 ou 4 ans, les moniteurs m’ont envoyée chez les flocons. Mais quand je suis montée sur le tire-fesses, j’ai lâché la barre trop tôt . Après avoir bien galéré pour remonter à peu près, j’ai commencé la descente, j’ai pris de la vitesse et, arrivée en bas… je ne me rappelais plus comment freiner alors j’ai foncé droit sur le prof et je me suis fait mal au poignet. On pourrait croire que ça s’arrête là… mais non ! Du coup le prof m’a envoyé chez les Piou-Pious. Quand un petit de 5 ans m’a dit « tu vois le chasse neige c’est comme ça qu’il faut faire » et qu’il m’a montré j’ai eu des envies de meurtre ! A la fin du cours, j’ai eu la bonne idée de redescendre à la station en skis, et là… nouvelle catastrophe !
J’ai raté un virage, je suis tombée et j’ai dévalé à peu près 150 mètres sur les fesses en semant des affaires par ci par là (et hop un snikers, et hop un gant et hop… !) ça n’en finissait pas !
Évidemment, on a aussi pris un mauvais chemin, et on a dû marcher un bon kilomètre en suivant une route avec nos chaussures de ski aux pieds et nos skis sous le bras avant d’arriver à la station (oui, c’était vraiment une « journée de rêve » ☹). Après je sais que c un peu long tu peux arranger comme bon te semble :).