Sagot :
Réponse :
Mon étrange convive m’affirma qu’il ne dédaignait pas, en beaucoup de cas, d’inspirer la plume, la parole et la conscience des pédagogues, et qu’il assistait presque toujours en personne, quoique invisible, à toutes les séances académiques. Encouragé par tant de bontés, je lui demandai des nouvelles de Dieu, et s’il l’avait vu récemment. Il me répondit, avec une insouciance nuancée d’une certaine tristesse :« Nous nous saluons quand nous nous rencontrons, mais comme deux vieux gentils hommes, en qui une politesse innée ne saurait éteindre tout à fait le souvenir d’anciennes rancunes."
a) Les verbes du dialogue : affirma, demandai, répondit.
b) Le discours indirect : "m’affirma qu’il ne dédaignait pas, en beaucoup de cas, d’inspirer la plume, la parole et la conscience des pédagogues, et qu’il assistait presque toujours en personne, quoique invisible, à toutes les séances académiques. "
Réécriture : Mon étrange convive m'affirma : "je ne dédaigne pas , en beaucoup de cas, d'inspirer la plume, la parole et la conscience des pédagogues, j'assiste presque toujours en personne, quoique invisible, à toutes les séances académiques".
c) Le discours direct : « Nous nous saluons quand nous nous rencontrons, mais comme deux vieux gentils hommes, en qui une politesse innée ne saurait éteindre tout à fait le souvenir d’anciennes rancunes."
Réécriture :*
Il me répondit ... qu' ils se saluaient quand ils se rencontraient mais comme de vieux gentils hommes en qui une politesse innée n'aurait su éteindre tout à fait le souvenir de vieilles rancunes.
Le sens n'est pas changé mais la partie vivante, dynamique du récit est déplacée puisque c'est le discours direct qui donne vie au dialogue.
Explications :