Réponse :
Explications :
Le narrateur a l'air très déprimé. Il compare la nuit à un cercueil par une métaphore. Ce qui l'a fatigué c'est la marche, mais ça a l'air plutôt l'inutilité de celle-ci. Il a l'air dépité, dégoûté. La marche est peut-être une métaphore d'un parcours sans fin.