Bonjours, je sait que C'est un peut banal mais j'ai besoin d'aide pour une correction de production écrite, je ne voit pas mes erreurs moi-même qui veut m'aider :)?
''Les paroles font plus de mal qu’un coup de poing.
Lorsque j’allais à la petite école, je n’étais pas très populaire. Tout avait commencé en maternelle, lorsqu’une enseignante me chicanait, parce que je ne savais pas comment faire les boucles sur mes chaussures et elle me faisait pleurer devant tous mes amies qui se moquaient de moi. Quand tu commences l’école et une telle situation t’arrive, tu n’as plus confiance et plus d’estime de soi. Après cette mésaventure, je ne voulais plus aller à l’école, je ne parlais plus à personne. Ma mère m’asseyait de force dans l’autobus. Pauvre elle, je ne parlais jamais de tout ce qu’il se passait à l’école, elle ne pouvait pas deviner. J’étais devenue tellement gênée que tout le monde même certain professeur m’appelait « la moronne ». Je n’étais déjà pas bien, mais je n’aurais jamais doutée que c’était seulement le début d’une misérable aventure.
En 3ième année, nos classes était divisées en « gang » les plus populaires et les moins populaires, les récréations étaient mes pires cauchemar, car je savais que j’allais être seule dans mon coin. Des noms ils m’ont disaient des milliers. Je pleurais sur mon pupitre et deux garçons de ma classe m’imitaient pleurer. Pour eux lorsqu’ils arrivaient à me faire pleurer c’était comme si ils avaient gagnés. Les professeurs ne disaient rien devant tout cela. Tous les matins j’avais peur d’aller à l’école, peur que les élèves ris encore de moi. Une journée, un garçon m’avait envoyée un message pour me demander d’être sa petite amie. Pour une petite fille de 3ième année, j’étais heureuse j’encerclai le oui et tout le monde se mit à rire encore et encore.
En 7ième année, j’avais eu une grosse chicane avec une de mes amies et le professeur à fait pleurer ma mère dans son beau en lui disant que j’étais « moronne », que je ne réussirais pas dans la vie et j’en passe. Voir ma mère pleurer le soir n’aida certainement pas ma cause.
Dans l’école, nous avions une salle de jeux pour les étudiants, un jour quelqu’un cassa un CD de jeux et la direction ferme le centre jusqu’à ce que la personne se dévoile. Toutes les 3 classes jetaient la faute sur moi, me criaient « c’est de ta faute grosse conne!, dénonce-toi » et j’en passe. Moi, sans défense ne me défendait jamais. Jusqu’à ce qu’un jour, j’envoyai un courriel à une de mes amies et lui dit que je voulais mettre fin à mes jours. J’étais tannée et je pensais au suicide. Paniquée mon amie donna une preuve du courriel à la direction et toute ma 8ième année, j’étais deux fois par semaines avec la psychologue de l’école.
Lorsque j’ai enfin entrée à la polyvalente, je croyais que tout allait être terminé, mais je me trompais, les deux mêmes garçons m’avait trouvé un surnom, « bras en feu. » J’ai une maladie de la peau, j’ai les épaules rouge picotés. Eux et plusieurs autres m’appelait de la sorte. Pendant 3 ans, je ne portais plus de chandail à manche courte, j’étais tannée. Je croyais être sortie de cette misère, mais ça m’avait suivie. J’étais beaucoup moins gênée, mais ils me rabaissaient.
C’est seulement en 12ième année que j’ai arrêtée de me préoccuper des gens comme cela. Encore maintenant, je les rencontre et j’ai une rage en dedans de moi. Mais lorsque je regarde autour d’eux, je suis fière de dire que moi au moins j’ai réussi ma vie. Je vie maintenant une nouvelle vie et c’est gens pour moi ils n’ont jamais existé. Je ne me laisse plus marcher sur les pieds. Je me dis que un jour, ils vont regretter tout ce qu’ils m’ont dit et faite.''
En 3ième année, nos classes était divisées en « gang » les plus populaires et les moins populaires, les récréations étaient mes pires cauchemar, car je savais que j’allais être seule dans mon coin. Des noms ils m’ont disaient des milliers. Je pleurais sur mon pupitre et deux garçons de ma classe m’imitaient pleurer. Pour eux lorsqu’ils arrivaient à me faire pleurer c’était comme si ils avaient gagnés. Les professeurs ne disaient rien devant tout cela. Tous les matins j’avais peur d’aller à l’école, peur que les élèves ris encore de moi. Une journée, un garçon m’avait envoyée un message pour me demander d’être sa petite amie. Pour une petite fille de 3ième année, j’étais heureuse j’encerclai le oui et tout le monde se mit à rire encore et encore.
En 7ième année, j’avais eu une grosse chicane avec une de mes amies et le professeur à fait pleurer ma mère dans son beau en lui disant que j’étais « moronne », que je ne réussirais pas dans la vie et j’en passe. Voir ma mère pleurer le soir n’aida certainement pas ma cause.
Dans l’école, nous avions une salle de jeux pour les étudiants, un jour quelqu’un cassa un CD de jeux et la direction ferme le centre jusqu’à ce que la personne se dévoile. Toutes les 3 classes jetaient la faute sur moi, me criaient « c’est de ta faute grosse conne!, dénonce-toi » et j’en passe. Moi, sans défense ne me défendait jamais. Jusqu’à ce qu’un jour, j’envoyai un courriel à une de mes amies et lui dit que je voulais mettre fin à mes jours. J’étais tannée et je pensais au suicide. Paniquée mon amie donna une preuve du courriel à la direction et toute ma 8ième année, j’étais deux fois par semaines avec la psychologue de l’école.
Lorsque j’ai enfin entrée à la polyvalente, je croyais que tout allait être terminé, mais je me trompais, les deux mêmes garçons m’avait trouvé un surnom, « bras en feu. » J’ai une maladie de la peau, j’ai les épaules rouge picotés. Eux et plusieurs autres m’appelait de la sorte. Pendant 3 ans, je ne portais plus de chandail à manche courte, j’étais tannée. Je croyais être sortie de cette misère, mais ça m’avait suivie. J’étais beaucoup moins gênée, mais ils me rabaissaient.
C’est seulement en 12ième année que j’ai arrêtée de me préoccuper des gens comme cela. Encore maintenant, je les rencontre et j’ai une rage en dedans de moi. Mais lorsque je regarde autour d’eux, je suis fière de dire que moi au moins j’ai réussi ma vie. Je vie maintenant une nouvelle vie et c’est gens pour moi ils n’ont jamais existé. Je ne me laisse plus marcher sur les pieds. Je me dis que un jour, ils vont regretter tout ce qu’ils m’ont dit et faite.''
