Bonjour
réécrire à l'imparfait en mettent "vieillard" au pluriel
Dans les terres, de nuit baignées,
Je contemplais, ému, les haillons
Des vieillards qui jetaient à poignées
La moisson future aux sillons.
Leurs hautes silhouettes noires
Dominaient les profonds labours.
On sentait à quel point ils devaient croire
À la fuite utile des jours.
Ils marchaient dans la plaine immense,
Allaient, venaient lançaient la graine au loin.
Rouvraient leurs mains, et recommençaient,
Et je méditais, obscur témoin.
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bonne soirée ☺☺☺