Sagot :
Réponse :
New York qui s'allonge en avenues trop droites
New York qui s'élève en des tours bien trop hautes
Tu fascines toujours quand mes mains maladroites
Chercheront sur le plan un long parcours sans fautes
Tes lumières clinquantes le néon des enseignes
Offrent un nouveau spectacle au piéton ébahi
Ami noir que je croise et toi qui me renseignes
j'ai perdu mes repères mais marche sans souci
Ville géométrique avec des avenues
Qui se perdent au loin dans l'horizon sans fin
De jour comme de nuit élancée dans les nues
La liberté salue d'un pays le destin
Explications :