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FATIMABEDDI9
Answered

Bonjour je suis en 3eme et j'ai bcp de mal en français pouvez vous m'aider pour ces questions:
2) « Nous étions accueillis par des bagnards que nous avons aussitôt→ identifiés ←comme des déportés français ». Justifiez l’accord du participe passé en gras par une explication de grammaire.
5)Réécrivez cet extrait en remplaçant « les kapos » par « une kapo ».
« Nous avons marché avec les autres femmes, celles de la « bonne file », jusqu’à un bâtiment éloigné, en béton, muni d’une seule fenêtre, où nous attendaient les kapos ; des brutes, même si c’étaient des déportées comme nous, et pas des SS. Elles hurlaient leurs ordres avec une telle agressivité que, tout de suite, nous nous sommes demandé : « Qu’est-ce qui se passe ici ? » Elles nous pressaient sans ménagements : « Donnez-nous tout ce que vous avez, parce que de toute façon, vous ne garderez rien. »

Sagot :

NIOGRET2M

Réponse :

2) « Nous étions accueillis par des bagnards que nous avons aussitôt→ identifiés ←comme des déportés français ».  le cod QUE mis pour bagnards est placé devant l'auxiliaire avoir donc accord.

5. Une kapo

« Nous avons marché avec les autres femmes, celles de la « bonne file », jusqu’à un bâtiment éloigné, en béton, muni d’une seule fenêtre, où nous attendaient une kapo ; une  brute, même si c’était une déportée comme nous, et pas une SS. Elle hurlait ses ordres avec une telle agressivité que, tout de suite, nous nous sommes demandé : « Qu’est-ce qui se passe ici ? » Elle nous pressait sans ménagements : « Donnez-moi tout ce que vous avez, parce que de toute façon, vous ne garderez rien. »

Explications :

JAHSYLVESTREOFFICIEL

Réponse :

2) « Nous étions accueillis par des bagnards que nous avons aussitôt→ identifiés ←comme des déportés français ».  le cod QUE mis pour bagnards est placé devant l'auxiliaire avoir donc accord.

5. Une kapo

« Nous avons marché avec les autres femmes, celles de la « bonne file », jusqu’à un bâtiment éloigné, en béton, muni d’une seule fenêtre, où nous attendaient une kapo ; une  brute, même si c’était une déportée comme nous, et pas une SS. Elle hurlait ses ordres avec une telle agressivité que, tout de suite, nous nous sommes demandé : « Qu’est-ce qui se passe ici ? » Elle nous pressait sans ménagements : « Donnez-moi tout ce que vous avez, parce que de toute façon, vous ne garderez rien. »

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