Sagot :
Bonjour,
Réponse:
Tout d’abord Emile Verhaeren donne une vision négative du paysage urbain, dans son poème « la ville » extrait de son premier recueil Les Campagnes hallucinées (oublie pas de souligne le titre du livre c’est important) il donne une vision critique de la ville moderne, loin d’être fasciné par le développement des nouvelles formes de transports, il entrevoit qu’elles s’accompagnent d’une accélération du temps et aperçoit déjà les limites de la société moderne. Dans son recueil il montre à la fois une nostalgie de la compagne du passé et une critique de la misère des villes, l’exode rural et le travail. Il dans ce poème « la ville » il s’agit d’une modernité destructrice et aliénante.
Pour rendre un paysage industriel poétique on peut s’attarder sur des objets nouveaux, par exemple Valéry Larbaud dans son poème « ode » elle utilise le nouveau moyen de transport « le train » (ainsi elle construit une éloge) pour renouveler sa poésie et pour rendre son poème plus réaliste.
J’espère t’avoir aidé
Réponse:
Tout d’abord Emile Verhaeren donne une vision négative du paysage urbain, dans son poème « la ville » extrait de son premier recueil Les Campagnes hallucinées (oublie pas de souligne le titre du livre c’est important) il donne une vision critique de la ville moderne, loin d’être fasciné par le développement des nouvelles formes de transports, il entrevoit qu’elles s’accompagnent d’une accélération du temps et aperçoit déjà les limites de la société moderne. Dans son recueil il montre à la fois une nostalgie de la compagne du passé et une critique de la misère des villes, l’exode rural et le travail. Il dans ce poème « la ville » il s’agit d’une modernité destructrice et aliénante.
Pour rendre un paysage industriel poétique on peut s’attarder sur des objets nouveaux, par exemple Valéry Larbaud dans son poème « ode » elle utilise le nouveau moyen de transport « le train » (ainsi elle construit une éloge) pour renouveler sa poésie et pour rendre son poème plus réaliste.
J’espère t’avoir aidé