Réponse :
Pour évoquer la guerre et la dénoncer, Prévert a choisi d'évoquer d'abord une jeune femme rencontrée avant, dans la ville de Brest , avant la guerre. IL va donc au travers de ce souvenir rappeler cette rencontre fugitive et le ment actuel et il compare. la guerre est passée et sa prise de position est nette :
"Quelle connerie, le guerre". langage familier certes mais qui exprime un avis qui vient du fond du coeur et comme il s'adresse à Barbara qu'il tutoie, il utilise la langue parlée.
Le champ lexical des ruines aussi participe à cette prise de position : "pluie de fer, de feu, d'acier, de sang". "une pluie de deuil terrible et désolée". "tout est abîmé".
Le poème se termine sur un vers terrible : "Brest dont il ne reste rien".
Explications :