Sagot :
Réponse :
Car ils croient qu'ils ont des fantômes sur leurs îles.
Explications :
La nuit d'Halloween, le 31 octobre, serait celle d'un rapprochement unique dans l'année entre le monde des morts et celui des vivants. Une passerelle que l'on retrouve dans bien des cultures, chacune ayant son propre calendrier. Car toutes les civilisations comprennent un imaginaire peuplé d'histoires de fantômes. Et ce, quelle que soit la religion.
Même l'athéisme ouvre un chemin jusqu'aux spectres. Pour Justin McDaniel, professeur au département des études religieuses à l'université de Pennsylvanie, croyances en Dieu et aux fantômes ne sont pas forcément liées. «Dans des pays extrêmement séculiers comme le Japon –je pense que le Japon est le pays industriel le plus séculier au monde–, ils ont des taux très bas de pratique de religions institutionnelles, mais de très hauts taux de croyance aux fantômes.» Idem pour les États-Unis: l'enseignant constate que l'affiliation ou non à une religion n'empêche pas de croire aux revenants.