Sagot :
Je ne pourrais dire comment je vis mon confinement. Cette situation s’est abattue sur nous d’un coup. Le rythme est tellement... étrange, different. Je suis en permance effrayé(e). Quand le soir, aux informations, ils nous annoncent le nombre de morts, le nombre de malades , j’ai le souffle coupé. Je pense à tous ces pauvres gens, toutes ces familles de malades... J’ai du mal à admettre cette situation. Qui aurait cru, il y a quelques mois, que nous nous retrouverions confinés, les écoles fermées, une pandemie terrible? Chaque matin, je me lève en priant silencieusement que cette situation se stoppe. Chaque soirs, je me couche en me demandant qui est mort aujourd’hui, et qui le sera demain. Je regarde par la fenêtre, en me disant que là, tout de suite, une personne souffre terrriblement. Même l’hôpital, endroit qui jusqu’à là, me rassurait, et devenue un endroit à éviter à tout prix. Infesté par le virus. Nos vies sont en danger. J‘ai peur.
je sais que ce texte ne fait pas 50 lignes mais c’est tout ce que je trouvais
Explications :