Sagot :
1) Il y a deux personnages présents dans cet extrait: - Mme Ecónomopoulos
- le narrateur
La lecture est la passion qui les relie l’un à l’autre.
2) Mme Economopoulos est tutoie tout au long du texte par le pronom personnel « elle », on constate que nous avons un changement dans les sentiments du narrateur car au début de cet extrait il lui raconte brièvement ce qu’il pensais de ces livres alors que plus tard il nous dit qu’il va chez elle « tout les aprèm midi »
3) Mme Economopoulos a permis au narrateur de se retrouver, de respirer à nouveau, à ressentir de nouvelles choses, à se poser des questions et c’est cela qui encourage le narrateur à lire
4) On comprend plus tard dans le texte que « la planque » désigne un lieu où le narrateur se retrouvais avec ses amis, ou ils parlent de la « guerre », des villes mortes, il décide de ne plus y retourné. Peut être que ce choix est fait pour qu’il n’est plus à voir ce qu’il se passe autour de lui, les choses cruelles, la destruction du monde. Il ne veut peut être plus parler de choses négatives.
- le narrateur
La lecture est la passion qui les relie l’un à l’autre.
2) Mme Economopoulos est tutoie tout au long du texte par le pronom personnel « elle », on constate que nous avons un changement dans les sentiments du narrateur car au début de cet extrait il lui raconte brièvement ce qu’il pensais de ces livres alors que plus tard il nous dit qu’il va chez elle « tout les aprèm midi »
3) Mme Economopoulos a permis au narrateur de se retrouver, de respirer à nouveau, à ressentir de nouvelles choses, à se poser des questions et c’est cela qui encourage le narrateur à lire
4) On comprend plus tard dans le texte que « la planque » désigne un lieu où le narrateur se retrouvais avec ses amis, ou ils parlent de la « guerre », des villes mortes, il décide de ne plus y retourné. Peut être que ce choix est fait pour qu’il n’est plus à voir ce qu’il se passe autour de lui, les choses cruelles, la destruction du monde. Il ne veut peut être plus parler de choses négatives.