Bonsoir,

Pouvez-vous m'aider a traduire ce texte :

A cat like a beadle goose-stepped with eerie convulsions out of the night cast by a cluster of statuary, from the recesses of the entrance hall. A maid with matchless decorum left a door silently, she removed a massive copper candlestick. She reintegrated the gloom that the cat had left.

The cat returned, with the state of a sacred dependent, into the gloom. Discreet sounds continually rose from the nether stair-head, a dark whisper of infernal presences. The antlers of the hall suggested that full-busted stags were embedded in its substance. A mighty canvas containded in its bronze shadows an equestrian ghost, who otherwise might have ruffled the empty majesty of the house with confusing posthumous activity.

Should a visistor, from just within the entrance, have been able to proceed at right angles to his left, overcoming septum after septum, hung as though with gigantic medals with the bulging gilt frames, he would have reached the gardener's tool-shed, and an arrangement of flagged steps _ where the impeccable staff indulged in those trite exchanges, inseparable from the menial life, with the more alert of the tradesmen's messengers. There was a gap where the rhododendron hedge was just exceeded by the stalwart street-front balustrade _ where between the bulbous stone the policeman could be observed at his usual occupation known as "Oh-dear-Mabel!", which consists in a repeated readjustment of the stiff melton trouser-fork, by a simultaneous flexion of both legs.


merci


Sagot :

Réponse :Un chat comme une perle oie-stepped avec des convulsions étranges de la nuit jetée par un groupe de statuaire, des recoins du hall d’entrée. Une femme de chambre avec décorum incomparable a laissé une porte silencieusement, elle a enlevé un chandelier en cuivre massif. Elle réintègre la morosité que le chat avait quittée.

Le chat revint, avec l’état d’une personne sacrée dépendante, dans la pénombre. Les sons discrets ne cessaient de se hisser dans la tête d’escalier du néant, un murmure sombre de présences infernales. Les bois de la salle suggéraient que des cerfs à buste complet étaient incorporés dans sa substance. Une toile puissante contenant dans ses ombres en bronze un fantôme équestre, qui autrement aurait pu ébouriffer la majesté vide de la maison avec une activité posthume déroutante.

Si un visiste, juste à l’intérieur de l’entrée, avait pu procéder à angle droit à sa gauche, surmontant le septum après septum, accroché comme avec des médailles gigantesques avec les cadres de dorure bombés, il aurait atteint l’outil-shed du jardinier, et un arrangement de marches marquées - où le personnel impeccable se livrait à ces échanges banals, inséparables de la vie menielle , avec le plus d’alerte des messagers des commerçants. Il y avait un trou où la haie de rhododendron venait d’être dépassée par la balustrade front de rue, où entre la pierre bulbeuse, le policier pouvait être observé à son occupation habituelle connue sous le nom de « Oh-dear-Mabel! », qui consiste en un réajustement répété de la fourche-pantalon de mélton raide, par une flexion simultanée des deux jambes.

Explications :