*Identifiez le thème. De quelle ceuvre théâtrale ce texte est-il une parodie ? Ô rage! Ô désespoir! Ô Perruque m'amie! N'as-tu donc tant vécu que pour cette infamie! N'as-tu trompé l'espoir de tant de perruquiers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers! Nicolas Boileau-Despréaux, Chapelain décoiffé, 1664.