Sagot :
Réponse :
«Nous payions un loyer à ma grand-mère et elle me traitait avec autant de discrétion que ses autres pensionnaires personne ne contrôlait mes allées et venues.nous pouvions rentrer à l'aube ou lire au lit toute la nuit, dormir en plein midi, rester claquemurée vingt-quatre heures de suite, descendre brusquement dans la rue. nous déjeunions à la coupole d’une tasse de chocolat. nous déjeunions d’un bortsch chez Dominique, nous dinions à la Coupole d’une tasse de chocolat. nous aimions le chocolat , le bortsch, les longues siestes et les nuits sans sommeil, mais nous aimions surtout mon caprice . Presque rien ne le contrariait. »
Réponse :
Bonsoir
Explications :
Réécrire à la première personne du pluriel (nous).
Nous payions un loyer à ma grand-mère et elle nous traitait avec autant de discrétion que ses autres pensionnaires ; personne ne contrôlait nos allées et venues. Nous pouvions rentrer à l’aube ou lire au lit toute la nuit, dormir en plein midi, rester claquemurées ( ou és) vingt-quatre heures de suite, descendre brusquement dans la rue. Nous déjeunions d’un bortsch chez Dominique, nous dînions à la Coupole d’une tasse de chocolat. Nous aimions le chocolat, le bortsch, les longues siestes et les nuits sans sommeil, mais nous aimions surtout nos caprices. Presque rien ne la contrariait. »