Réponse :
Lorsqu’on parle d’oppression on pense directement aux régimes dictatoriales et les moyens utilisés comme la censure qui permettent d’exercer un contrôle sur le peuple.
Il n’est pas toujours possible de résister à l’oppression pour plusieurs raisons.
D’une part pour faire face à l’oppression, il faut que ceux qui s’y opposent se regroupent afin d’être nombreux face à la menace. S’il n’y a pas d’organisation dans la résistance alors elle n’aura aucun impact face à l’oppression. Sans l’appel du Général de Gaulle en juin 1940, il n’y aurait peut être pas eu autant de mouvements de résistance contre l’oppression allemande. La collaboration en ce temps était un moyen de survivre pour beaucoup de Français. On peut dire que s’il n’y a pas d’action collective il n’y a pas de résistance.
Une autre limite à la résistance est le sentiment d’impuissance. Quand on fait face à des violences on se retrouve dans la difficulté d’agir. D’où la nécessité d’organiser la résistance pour être ‘plus forts’.
La désinformation ou le manque de moyen de communication peuvent aussi représenter une limite à la résistance. En effet, beaucoup de régimes dictatoriaux ont utilisé la censure pour que le peuple n’ait pas toutes les informations ou pour alimenter la propagande autour du régime en place. C’est encore le cas aujourd’hui car beaucoup de figures politiques utilisent de fausses informations pour se défendre ou pour faire taire ceux qui s’opposent à leurs convictions.
Explications :
Voici quelques idées que tu peux développer et illustrer.
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