Bonjour pouvais vous m'aidez a trouver quelque idée pour cette rédaction

Vous visitez un château en ruines avec quelques amis. Soudain, vous perdez le reste du groupe et vous retrouvez isolé(e). Vous êtes alors témoin d’un événement étrange et effrayant.

Racontez, de façon fantastique, cet événement et les sentiments du narrateur face au surnaturel.
Votre récit commencera ainsi : « Soudain, je me retrouvai seul(e) dans une pièce sombre et humide de ce château sinistre. »


Sagot :

Soudain, je me retrouvai seule dans une pièce sombre et humide de ce château sinistre. Mes amis me faisaient il une blague?

« Hé, ho! Les amis, c’est vraiment pas drôle! »

Le silence m’accueillit.

J’avais peur, très peur. Il y avait des toiles d’araignée partout. Je me mis à avancer doucement. J’entendais comme des petites gouttes couler sur le sol. J’essayais de plisser les yeux, histoire de voir quelque chose, en vain. J’avançais dans le noir, les bras en avant, au cas où il y aurait un mur ou un meuble devant moi. Je commençais à avoir froid et à regretter le t-shirt que j’avais mis. Un craquement se fit entendre, je poussa un cri qui résonna à travers la pièce. Un deuxième craquement, suivit encore une fois de ces petites gouttes qui coulaient. Je me figeait. Mon cœur battait à la chamade.

« Jamais tu ne sortiras d’ici si tu ne bouges pas. » me dit alors une petite voix à l’intérieur de moi.

Je pris une grande inspiration, et avançait, les bras toujours en avant. Puis je sentis des petits picotements sur mon bras. Ces picotement avançaient sur mon bras. Figée, les yeux écarquillés, je regarda mon bras et poussa un cri d’horreur. Une araignée, une très grosse araignée noire et velue. Je le mis à sautiller et à secouer mon bras dans l’espoir qu’elle trouve refuge ailleurs. J’entendais un petit bruit sur le sol et les picotements cessèrent aussitôt. Elle était tombée. Je ne pouvais quand même pas cesser de sautiller, secouée par les frissons. C’est alors que mon dos toucha quelque chose de mou, de froid...

Tétanisée de peur, j’arrêtais alors de respirer. Lentement, très lentement, je me retournais peu à peu afin de découvrir ce qui a changé ma vie...

Devant moi était allongé sur une banquette une femme d’âge mûr, elle était en sang. C’était un cadavre.

Je ne pouvais crier, ni émettre aucun son. Rien ne sortait de la bouche. Mon cœur battait à la chamade. Ses mains aussi étaient en sang, et il coulait à petites gouttes sur le sol. Voilà donc ce que j’entendais tout à l’heure...

Voilà j’espère qu’à ça t’aura aidé, pour le reste je n’ai pas d’inspiration.

Explications :