Sagot :
La question de la vie reste une problématique assez importante de nos jours, tout comme elle le fut autrefois. En effet, le principe même de donner sa vie repose sur l'idée d'une absence totale d'égoisme, du moins lorsqu'il s'agit de la donner en faveur d'une cause. Toutefois, la vie, comme il est vu dans de nombreux écrits tels que la bible, est le bien le plus précieux de l'Homme. En outre, dans une démarche bienveillante et désintéressée voire même altruiste, donner sa vie pour une cause demeure selon certains un acte d'égoisme. Non pas un égoisme en notre faveur, mas un égoisme de sorte à ce que notre mort puisse malgré tout affecter d'autre personnes autour de nous. Faire souffrir ces personnes, même pour le bien commun, reste-t-il pour autant moral ? Une vie en vaut-elle d'autres ?
Chaque réponse semble tenir ses arguments, tout dépend de la manière dont on les considère, mais plus que tout, de LA PERSONNE qui est face au dilemme.