Sagot :
Réponse :
je peux te repondre à la question 1 avecc une image :
voici un texte extrait de mon cours qui reponds à ta question en commentaire je travaille dessus en ce moment :
Alors que de nombreux médias abordent la question des réfugiés d’un point de vue humanitaire et rapportent l’histoire de ces hommes, femmes et enfants qui fuient leur pays, peu de journalistes sont formés pour couvrir ce sujet, ce qui n’est pas sans conséquences. Ce sont quelques-unes des conclusions des experts réunis le 18 mars à Paris pour un débat thématique sur les médias et la migration organisé par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC) de l’UNESCO.
La question du déplacement de populations a été mise à la une par l’exode syrien et ses répercussions sur le Liban, la Turquie, la Jordanie et l’Europe, mais ce problème frappe également le continent américain, les pays d’Afrique de l’Est, l’Afghanistan, l’Iraq et l’Inde, notamment.
Dans ce contexte, les reporters non formés ont du mal à faire la différence entre les termes « migrants », « chercheurs d’asile » et « réfugiés ». Or les « mots ont leur importance », comme l’a fait observer Melissa Fleming, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.