Sagot :
Réponse :
Être au coeur du combat : nous en avons des témoignages par des lettres, des récits, de poèmes, des dessins. On nous raconte l'horreur des tranchées, le froid, les privations, l'eau, les rats mais aussi la peur, les assauts, les bombes, les blessés, les morts.
Être en dehors du combat, c'est autre chose.
L'arrière avait des échos, voyait arriver les blessés. les populations civiles de l'époque voyaient les hôpitaux, les privations, les rationnements, la peur des bombardements, l'exode, l'occupation, la méfiance, les dénonciations, les rafles, les fusillades
Mais aujourd'hui, nous sommes loin de tout cela. Nous essayons d'imaginer, nous sommes émus. Pourtant il ne faudrait pas oublier ceux qui ont lutté pour notre liberté, ceux qui ont souffert ou sont morts. Se souvenir pour éviter que cela recommence.
Explications :