Bon...On voit que les journalistes utilisent des phrases courtes, exclusivement nominale. Un vocabulaire exagéré "drame" "jalousie" "réjouissances" "tragiques" "catastrophe" dans un répertoire tragique.
Les titres sont écris en gras et gros caractère d'imprimerie. Les encadrés les mettent en valeurs (couleurs) le rouge de l'oeil de la police par ex.
Tout est dans l'implicite, la suggestion, rien n'est dit tout est suggéré, fait travailler l'imagination du lecteur dont le regard est attiré par la présentation des titres. Le journaliste joue sur la curiosité du lecteur.
Les illustrations sont bien sûr en couleur et présentent des scènes d'actions, du mouvement, on essaie de comprendre, on a envie de savoir. Le titre et l'image s'associent et attisent encore plus la curiosité.
Le 3 e doc n'a pas d'illustration mais le titre est en gras et on a un article définit : "la" qui met encore plus en valeur la catastrophe ce n'est pas comme une catastrophe qui mettrait moins en valeur le mot.
Enfin on a des données. Des chiffe 1.500 mineurs mais on ne sait pas pourquoi. C'est comme une phrase à trou, on devine mais on a besoin de s'assurer....en lisant.
sinon pour la partie manipulation ça donnerait un truc du genre :
Meutre d'un policier rue Jansen. Procès exemplaire réclamé. Inédit attribution de la médaille du mérite
