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Sagot :

Réponse :

-Ce poème se nomme "Rêverie" et fait partie d'un recueil de poème "Les Orientales" écrit par Victor Hugo et paru en 1829 à Paris.

-Ce poème comprend 3 strophes.

-On appelle ces strophes des Sizains car elles se composent de 6 vers

-Les rimes de la troisième strophes sont suivies (A-A-B-B-C-C)

-Qui, |com | me | la | fu | sée | en | ger | be | é |pa | nouie,

On appelle ce type de vers des alexandrins, ils sont composé de

syllabes

-Dans ce poèmes, Victor Hugo raconte grâce a la nature la monotonie de sa vie. Il choisit ce titre car il désirerait du changement.

Comparaison: Rapproche deux éléments (comparé et comparant) au moyens d'un outils de comparaisons (comme, semblable à ...)

Métaphore: Comparaison sans outils de comparaison

Hyperbole: Figure de style qui consiste a exagérer une idée, expression la plupart du temps négative.

personnification: Attribuer des caractéristique humaines à un animal ou un objet

énumération: Figure de style qui consiste à dénombrer plusieurs élément éventuellement a des fins récapitulatifs  

-Le soleil et la pluie ont rouillé la forêts: oxymore: figure de style qui consiste à allier deux mot de sens contraire

-Ville mauresque, éclatante, inouïe: hyperbole: figure de style qui consiste en l’exagération d'une idée

-Comme la fusée en gerbe épanouie: Comparaison: Rapproche deux éléments (comparé et comparant) au moyens d'un outils de comparaisons (comme, semblable à ...)

-Comme un ciel d'automne rembrunies: Comparaison: Rapproche deux éléments (comparé et comparant) au moyens d'un outils de comparaisons (comme, semblable à ...)

-Avec les milles tours de ces palais: hyperbole: figure de style qui consiste en l’exagération d'une idée

-Rêverie est un poème lyrique car l'auteur exprime ses sentiments à la première personne du singulier : « Je rêve » (v. 8). Aussi, on retrouve plusieurs fois la notion de la solitude dans les deux premiers strophes « Laissez-moi ! » (v. 1), « Le grand bois [...] dore seul la colline » (v. 4),et « seul » (v.8). L'adjectif « seul » placé au milieu de l'alexandrin et avant le verbe accentue la solitude du poète : « seul je rêve » (v. 8).

Explications :

Pour les rimes, on ne compte pas le "e" muet si il se trouve devant une syllabe ou en fin de vers

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