Réponse :
je suis désolé(e) mais je ne veux pas être complice, c'est mon devoir de vous en parler. Je ne veux pas me taire et faire comme si le harcèlement à l'école n'existait pas. Je voudrais que tout le monde : parents, enseignants, éducateurs, lycéens et collégiens se sentent concernés et se mobilisent. Nous ne voulons plus que des élèves soient moqués pour leur couleur de peau, leur religion, leur poids ou leur handicap. Nous ne voulons pas que circulent sur internet des propos dégradants ou injurieux. Nous ne voulons pas que l'école se transforme en enfer pour quelques uns peut-être plus fragiles. Il ne faut plus ignorer les souffrances, les peurs des victimes. Arrêtons de dire que ce n'est pas très grave. C'est grave. Certains en viennent à des actes désespérés. Après le drame, il est trop tard et les regrets n'ont plus leur place. La prévention, c'est avant.
Explications :