Réponse :
Dans cette pièce de Marivaux de 1725, qui est une comédie en un acte, on trouve l'esprit du XVIII°.
J'ai aimé cette inversion des situations, ces maîtres qui doivent prendre la place des valets, le temps de comprendre la situation du serviteur et de réfléchir que la manière de diriger.
Même s'il y a de l'insolence, des réparties, tout est bien qui finit bien et à la fin, maîtres et valets se réconcilient et on s'embrasse.
Le ton est si plaisant qu'on lui a donné le nom de "marivaudage", c'est raffiné, léger, plein d'esprit.
Explications :