Sagot :
voilà ce que j'ai pu faire :
"Chaque soir, avant le couvre-feu, ma famille et moi nous baladons dans les rues d'Amiens et parlons de tout et de rien. Nous faisons cela pendant une petite demi-heure puis nous rentrons. Lorsque nous sommes rentré, nous mangeons puis je m'en alla raconter une histoire à ma petite sœur pour l'endormir. Ce soir là, je ne réussi pas à l'endormir à cause des bombardements et des échanges de tirs. Je l'ai donc serré dans mes bras aussi fort que je le pouvais pour qu'elle puisse se calmer un peu. Quand les échanges de tirs et les bombardements se sont arrêtés, elle réussit à s'endormir et moi, je me précipita à la fenêtre pour voir si la voix était libre pour pouvoir sortir et rejoindre le collectif de la Résistance de ma ville et nous commencions donc à poser nos affiches dans les rues en faisant attention aux gardes et à en distribuer dans les boîtes aux lettres. Après cela, je rentrais chez moi en passant par la fenêtre et je m'endormis paisiblement avec le sentiment d'avoir fais quelque chose de bien."