Sagot :
Réponse :
Je pleure un ami qui jamais n'a failli
Je croyais éternel le lien qui nous unit
Un coeur si brave, une âme si généreuse
Qui manier l'épée et toisait l'adversaire
Et moi je me croyais toujours la plus heureuse
En comptant sur son bras dans les journée contraires
Mais je ne savais pas que derrière l'habit
Se cachait la tendresse et une plume habile
Qui savait plus d'un tour pour raviver les coeurs
Et sa délicatesse jouait avec la rime
Pour enflammer la belle qui était à Christian
S'oubliant pour les autres discret et élégant
Jamais une action vile ou un mot de pédant
Quelque chose me quitte et c'est un tendre lien
Je sais que dans l'église je manque de soutien
Cyrano qui s'en va et je porte le deuil
Du bonheur désormais je reste sur le seuil.
Explications :