Sagot :
Réponse :
L’attachement à la peine de mort est lié à la tentation de l’élimination. La vie du criminel emprisonné importe peu. Mais c’est plutôt la peur qu’il récidive un jour alors, il faut qu’il soit tué par précaution.
Ce n’est donc plus une justice d’expiation mais une justice d’élimination.
En acceptant la justice d’élimination, elle doit s’engager en connaissance de cause. Notre justice ne tue pas les déments. Ne sachant pas les identifier, c’est à l’expertise psychiatrique qu’elle s’en remet. Non, je m’intéresse à la justice des pays démocratiques
Dans l’abolition, deux conceptions s’affrontent. C'est-à-dire qu’il y a des hommes totalement responsables dans leurs actes et d’autres non.
Ces deux affirmations semblent erronées. Il n’y a pas sur cette terre une culpabilité qui soit totale. La justice reste une œuvre humaine, donc faillible.
Explications :
Si le verdict du psychiatre est favorable à l’assassin, il sera épargné. Dans le cas contraire, il est exécuté.
Je ne parle pas d’une société où criminels et déments sont éliminés ainsi que les opposants politiques et les pollueurs du corps social. Dans la justice d’élimination est caché le racisme secret, où les étrangers dans leur faible pourcentage sont mis à mort. La justice reste une œuvre humaine, donc elle est faillible.
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