Sagot :
Salut. Oui il parle de son vécu. Tout poème traite de son propre vécu en réalité. Il faut bien que Baudelaire ait de l’inspiration. Il a certainement croisé une personne, le temps de quelques secondes et la beauté de cette femme lui a donné envie d’écrire un poème sur elle. Ne me dis pas que ça ne t’es jamais arrivé: voir un beau gosse dans la rue passer près de toi. Sa beauté créer un choc en toi mais tu te dis que tu ne le reverras plus jamais. Par contre ce n’est qu’une supposition. Il a peut être écris ce poème des années après, les sentiments qu’il éprouve y sont décuplés (il ne la connaît même pas or le poème évoque de l’admiration, de la violence). Donc c’est certainement son vécu mais il a « amélioré » son ressentis par rapport à elle. Ce n’est qu’une passante après tout et il en a fait un chef d’œuvre.
Après pour les œuvres des fleurs du mal je ne sais pas trop. Je ne connais pas trop sa vie.
En tout cas tu peux citer « L’albatros ». Ça traduit son impression de ne pas appartenir au monde dans lequel il vit, en décalage car il est poète. Il compare ici le poète (en général, mais aussi lui même à travers sa condition de poète) à l’albatros (un oiseau).
Après pour les œuvres des fleurs du mal je ne sais pas trop. Je ne connais pas trop sa vie.
En tout cas tu peux citer « L’albatros ». Ça traduit son impression de ne pas appartenir au monde dans lequel il vit, en décalage car il est poète. Il compare ici le poète (en général, mais aussi lui même à travers sa condition de poète) à l’albatros (un oiseau).