Sagot :
La famille passe d'un jugement négatif et accusateur sur l'oncle Jules (elle a honte de ses agissements et le considère comme un voyou) à une admiration sans bornes, liée à l'espoir de la fortune du cher oncle.
Point de vue défavorable : "terreur, parlât à voix basse, mauvaise conduite, ne valait pas les quatre fers d'un chien".
Point de vue positif :"seul espoir de la famille, honnête homme, garçon de coeur, un qui a su se tirer d'affaire".
Le père, employé modeste et effacé ; la mère, quelque peu aigrie par les difficultés budgétaires ; enfin, les deux sœurs qui vivent dans l’attente du mariage. Dans cette ambiance, toute de grisaille, apparaît une seule figure romanesque, celle de l’oncle Jules : un « mauvais sujet » qui, après avoir dilapidé dans la débauche les maigres revenus familiaux, avait émigré en Amérique où, dit-on, il serait devenu riche ; en tous cas il avait écrit d’Amérique à son frère, en lui faisant de grandes promesses.
Point de vue défavorable : "terreur, parlât à voix basse, mauvaise conduite, ne valait pas les quatre fers d'un chien".
Point de vue positif :"seul espoir de la famille, honnête homme, garçon de coeur, un qui a su se tirer d'affaire".
Le père, employé modeste et effacé ; la mère, quelque peu aigrie par les difficultés budgétaires ; enfin, les deux sœurs qui vivent dans l’attente du mariage. Dans cette ambiance, toute de grisaille, apparaît une seule figure romanesque, celle de l’oncle Jules : un « mauvais sujet » qui, après avoir dilapidé dans la débauche les maigres revenus familiaux, avait émigré en Amérique où, dit-on, il serait devenu riche ; en tous cas il avait écrit d’Amérique à son frère, en lui faisant de grandes promesses.