Sagot :
Réponse :
Bonsoir
Explications :
Je courais corps et âme sans relâche pour échapper à cet étrange fiacre .
Soudain j'aperçus une ruelle sombre et ,sans réfléchir, je me précipitai dans celle-ci . jJe décidai de faire le détour de cette ruelle pour ne plus être dans cette folie et pour pouvoir respirer profondément . Mais soudain , ce recoin se changea en une sorte de long tunnel brumeux où même la pâle lueur de la lune ne pénétrait pas . Je marquai un arrêt. Je ne savais pourquoi . J’étais-là , tel une statue , immobile .
Enfin , je pus sortir de ma torpeur et recommencer à marcher . Je ne voyais rien. Alors je commençais à accélérer le pas comme poussé par l’envie de quitter ce sinistre lieu. J’entendais des bruits , à droite , à gauche , derrière moi . Soudain , quelque chose me frôla , je me retournais d’un bond , mais je ne distinguais rien . J’attendis ainsi un instant . Quelques secondes , non , quelques minutes passèrent quand je sentis de nouveau une étrange pression sur mon épaule . Un frisson parcourus tout mon corps . Alors , je me lançai en courant . Vers où ? Je ne sais pas . Peut être retournais-je à mon point de départ ? Je m’en moquais le plus important c’était de sortir de se lieu terrifiant .§
Tout autour de moi , des bruits , des grincements , des cris sourds et , toujours cette terrible pression sur mon épaule . Je paniquais , je criais , je m’affolais , j’agitais les bras dans tout les sens . « Lâchez moi , laissez moi tranquille ! » m’écriais-je en voulant être menaçant mais ma voix était celle d’un garçon de cinq ans . Je m’arrêtai , je me recroquevillai sur moi-même .
Ce n’était pas possible , je devais rêvais , c’était évident ! Mais les bruits continuaient , plus stridents les uns que les autres , encore et encore , toujours plus forts!, ils remplissaient mes oreilles! . J’essayais de crier , mais je n’entendais plus ma voix , que faire ? Maintenant je pleurais . J’avais peur .
Comment un grand comme moi pouvait avoir peur de… de quoi d’ailleurs ? Des esprits ? Je ne savais pas .Ce n’était peut être que des chats errants qui faisaient bouger des objets quelconques dans la ruelle ?. Peut être ?, Non! Cela continuait , toujours plus fort , toujours plus violent . Le vent s’engouffrait dans la ruelle , pareil au terrible hurlement d’un loup enragé .
Réponse :
C'est dommage que la fin se termine ainsi .Il n'y a pas de phrase introductive d'un autre chapître.
A part cela, tu devrais continuer à écrire .Ton style et ton vocabulaire sont très bien adaptés et cohérents .Pense à éclaircir ton texte en le structurant en paragraphes .Fais des phrases courtes pour rendre ton histoire encore plus palpitante.
Explications :