Bonsoir, j'ai une rédaction à rendre. Le texte est : " La pendule sonna onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps, et, lorsqu'il fut éteint tout à fait.. Oh! Non, je n'ose pas dire ce qui arriva, personne ne me croirait et l'on me prendrait pour un fou. Les bougies s'allumèrent toutes seules ; le soufflet, sans qu'aucun être visible lui imprimât le mouvement, se prit à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnaient dans les tisons et que la pelle relevait les cendres. Ensuite une cafetière se jeta en bas d'une où elle était posée, et se dirigea, clopin-clopant, vers le foyer où elle se plaça entre les tisons. Quelques instants après, les fauteuils commencèrent à s'ébranler, et, agitant leurs pieds tortillés d'une manière surprenant, vinrent se ranger autour de la cheminée " Sujet: Imaginez une suite à ce passage. Consignes: Je dois prendre les indices du texte de base, mon texte s'enchaîne bien avec le texte d'appui. Je dois respecté le ton du texte de base. Je dois introduire des éléments nouveaux. Mon récit dois être cohérent. Je dois utilisé le champ lexical de la peur et du doute. Je dois crée deux comparaisons (indiquées dans la marge). Je dois respecté les caractéristiques du texte fantastique : hésitation sur l'explication finale. Je dois faire des paragraphes. Chaque paragraphe correspond à une idée précise. Je fais attention à l'orthographe et à la syntaxe. Je dois employé correctement l'imparfait, le passé simple et le plus que parfait. Je dois conjugué correctement l'imparfait, le passé simple et le plus que parfait. Sa serrai gentille de m'aider !



Sagot :

Je restais là sans bouger, je regardais d’un air inquiet tout se qui se passait devant mes yeux.

Soudain,arrivé de nulle part, un groupe de personnes entra dans la pièce .Mon sang ne fit qu’un tour.Ils allèrent s’assoir dans les fauteils près du feu et discutèrent.Ceci dura crois une heure.

Au bout d’un moment un homme habillait d’un costume noir se tourna vers moi et me fixa dans les yeux longuement. Son regerd était si intense que je m’évanouis.

A mon réveil l’horloge indiquait deux heures du matins.Dans la pièce rien n’avait changé les gens parlaient encore,la cafetière se baladait d’un bout à l’autre de la pièce,l’horloge,elle, semblait écouter avec attention la discussion qui se tramait devant elle, quand aux fauteuils,eux , ils se déplaçaient de temps à autres déplaçant aussi les gens qui étaient assis dessus.

Après quelques instants d’hésitation je fini par aller vers le petit groupe. J em eplanta devant eux et leurs dit de ma vois la plus calme possible bonsoir. L’homme qui m’avait fixé quelques instans auparavant me sourit et me regarda comme si l’on était de vieux amis d’enfances qui se retrouaient,comme si l’ on se connaissait depuis toujours. Il m’invita donc à m’assoir.Je me dirigea vers le fauteuil que l’on m’avait indiqué tramblant comme une feuille.

Je passa finallement la nuit à discuter avec eux ! Ils étaient d’une autre époque mais cela ne m’empêche aps de prendre part à leurs discussions,leurs débats,à partager mon avis…

Six heures sonnèrent, et je vis le regard de mes nouveaux amis se perdre dans le même direction. Ils se levèrent tous d’un bon et sans dire un mot ils se dirigèrent vers une porte que je n’avais pas vu à mon arrivé ici.Ils disparurent et tous les objets présents retournèrent à leurs places.

Je réalisa enfin que la nuit que j’avais passée était réelle quand je vis sur le mur en face de moi le portrait de l’homme qui m’avait considéré comme son ami la nuit dérnière.Pris de panique je poussa un cris qui se fit entendre dant toute la demeure.L’homme qui m’avait reçu chez lui la veille se précipita dans chambre et me demanda se qui se passait. Je mis quelques secondes avant de lui répondre, en effet je ne voulais pas qu’il me prenne pour un fou, et lui dit finalement que j’avais fais un rêve assez surpprenant ! Il me contempla quelques instants avant de me faire un grand et beau sourire que je lui rendit immédiatement.